Certains examens en France pourraient être la cible de quelques changements

Il y a de grandes chances pour que diverses nouveautés soient au rendez-vous dans les prochains mois. Le ministre de l’Éducation pourrait donc injecter une réforme afin de modifier les examens.

Le baccalauréat est au centre de toutes les attentions

Alors que la sélection d’un lycée professionnel est à l’ordre du jour pour de multiples élèves qui choisissent leur orientation pour l’année prochaine, le gouvernement se focalise sur une potentielle réforme. Celle-ci pourrait avoir lieu rapidement et elle aurait pour objectif de transformer le baccalauréat. Les écoliers sont nombreux à se préparer à cet examen qui est largement pointé du doigt. Si certains estiment qu’il est inutile, d’autres sont convaincus qu’il a besoin d’être amélioré et modernisé.

Une éventuelle réforme pour la prochaine session de 2018

Emmanuel Macron a donc décidé de se focaliser sur la session 2018, car elle pourrait être revue et corrigée. De ce fait, ceux qui se préparent à mettre de côté leurs loisirs afin de réviser parfaitement leur examen pourraient être les derniers à passer le bac comme nous le connaissons aujourd’hui. Jean Michel Banquer a déjà fait connaître son intention d’appliquer la promesse du nouveau président de la République. Il est important de noter que le sujet est complexe, car il est souvent très difficile de réformer l’école sans que des scandales ne voient le jour. Il a certes été la cible de plusieurs retouches, mais son obtention ne serait pas aussi intéressante.

Le baccalauréat pourrait prendre la même forme que le brevet des collèges

La réussite serait donc trop forte, ce qui traduirait une facilité inutile pour les futurs bacheliers qui espèrent ouvrir les portes de l’enseignement supérieur. Le gouvernement se penche sur une question très intéressante, car le bac restera-t-il cet examen que nous connaissons ou deviendra-t-il finalement comme le brevet ? Il pourrait simplement valider les acquis à la fin du lycée sans pour autant être un frein à une potentielle évolution vers l’université. 

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